Pour me retrouver il faudra faire une peu de recherches...

Mon premier est un échange de bouche à bouche, une caresse sur les lèvres.
Mon second est emmiellé, adouci en ajoutant du sucre.
Mon tout (1) est un synonyme de bécots lénifiés.
Mon tout (2) est au pluriel.
Mon tout (3) est resté chez canalblog.

Je vais prendre le raccourci pour dire tout simplement que je quitte ce blog.
De côté parce que ça y est le passage est baigné de la lumière extérieure.
J'entrevois la sortie,et je passe de l'autre côté, là où l'herbe est plus verte.


Miss Lain t'es où?! [--->]
Laissez-moi un petit message, je répondrais

"Seulement cette fois tu comprends c'était pour te protéger,
non en fait c'est surtout que ce n'était pas à moi de te le dire,
m'enfin surtout on pensait qu'il te le dirait avant. (NB: avant que tu sois - encore - la dernière au courant)
Il ne faut pas nous en vouloir,
on ne voulait pas s'emmêler,
j'avais trop peur que tu sois triste,
je ne voulais pas te voir pleurer.
Je craignais ta réaction...
Il faut que tu saches que en fait, tout le monde le sais. (NB: TOUT tes amis... "Amis"?! -_-)
pour pas que tu sois étonnée.
Tu m'en veux? Tu es fâchée? Ca va?"

En quelques lettres plutôt qu'en alinéa, parenthèses, guillemets et autres décorations exclamatives: Je me fiche de toi, toi et toi.
Je vais m'enfermer dans un monde d'égoïsme absolu et vos problèmes vous pourrez les jeter dans la corbeille windows, car vous aurez plus de chance qu'elle s'attarde sur votre cas.
Je ne veux plus que l'on vienne m'arracher une quelconque confiance.
Je suis de la farce le Dindon et ça me vexe.

Allez au Diable.

NB: Je n'ai même plus mal au coeur.

Son sourire juste corrosif impossible de soutenir son regard.

Quand il enserre de son bras droit la courbe de mon tour de taille.
*miou*

*Pff ça me dirait bien moi aussi*

J'aurais tellement de choses a dire et à t'écrire, que je ne trouve même plus mes mots.

Et je t'arrache un sourire au travers du clavier
juste par défi, pour affronter le sombre coté
que tu t'attaches à carresser.

Aux cheveux noirs de jais enroulés entre mes doigts,
à la cicatrice qui traverse ta petite lêvre supérieure.
Aux plis que forment tes joues lorsque tu joues ta moue gênée.
A ta barbe douce qui frotte, bichonne ma sensible peau
de par la frénésie de tes yeux qui me gobent et m'avalent toute entière.
Je veux encore outrepasser le temps qui m'était imparti à rester avec toi.

Tu anesthésies exquisément chaque pâleur encore un peu acide à résorber.
Toi qui patiemment me philosophe sans me juger.

J'en veux encore.

Ça devrait pas être permis de m'intimider,
et de me coller un sourire à m'en donner mal aux fossettes!